Mais qu’est-ce qui peux bin se passer dans la vie d’une femme pour qu’elle quitte sa carrière en ressources humaines pour finalement faire des recettes ?
C’est un processus qui ne se fait pas du jour au lendemain et certainement pas sans dommages collatéraux.
Je n’ai pas décidé du jour au lendemain de quitter le monde du travail, cette étape c’est fait bien malgré moi au début, tout ça grâce à mon amie dépression et son copain anxiété. Les deux se sont ligués contre moi en m’enfonçant plus profondément chaque jour. Heureusement, j’ai pris connaissance de la présence de ces deux vipères dans ma vie assez rapidement.
Ça faisait déjà un bout que je me doutais que ce n'était pas la grande forme. Tsé quand sur ton heure de dîner tu t’enfermes dans ton char pour brailler toutes les larmes de ton corps, sans trop comprendre exactement pourquoi tu pleures, ça sonne une cloche que quelque chose ne va pas. Mais, je suis une femme forte, ça va passer (yeah right!)
J’ai donc mis mon orgueil de côté et je suis aller à la rencontre d’une merveilleuse psychologue (que je salue d’ailleurs). Ce fut une des meilleures décisions que j’ai prise dans ma vie. Celle de prendre une pause, penser à moi et réussir à trouver c’est qui au juste cette femme que je vois dans le miroir tous les matins.
J’ai vite compris que je n’entrais pas dans le moule : Métro, boulot, dodo. Je suis une femme qui a besoin d’être passionnée, qui a toujours 10 millions d’idées et de projets en même temps dans la tête et qui étouffe littéralement dans un bureau. Bref, j’ai un grand besoin de liberté.
Je n’ai pas démarrer mon entreprise avec une étude de marché pour savoir où était le cash et qu’elle genre d’entreprise me permettrait de devenir riche. J’ai plutôt décider de démarrer une entreprise qui me ressemble et qui me permet de vivre la vie que je voulais. Le genre de vie où le stress de la routine quotidienne est plus ou moins présent, celle où je décide à quoi vont ressembler mes journées, celles où mon travail n’est pas une corvée mais plutôt une partie de plaisir et surtout, celle où je suis présente pour mes enfants. Est-ce que ma vie est parfaite ? Probablement pas, parce je suis le genre de personne qui pense qu’il y a toujours place à l’amélioration et à la nouveauté. De toute façon, est-ce que la perfection existe vraiment ? Peut-être, mais elle n’est certainement pas unique. C’est-à-dire que mon idéal de la vie parfaite n’est certainement pas le même que toi. Nos valeurs sont différentes, nos envies, nos goûts, nos objectifs ne sont pas les mêmes alors forcément que notre idée de la perfection est différente.
Mais, on a juste une vie à vivre, donc je crois qu’il est important d’en faire une vie à son image.
Finalement c’est mes passions, mes convictions et mes valeurs qui m’ont amenées à bâtir une entreprise qui est passionné par ce que la majorité des gens redoute : les soupers de semaine.
Mais qu’est-ce qui peux bin se passer dans la vie d’une femme pour qu’elle quitte sa carrière en ressources humaines pour finalement faire des recettes ?
C’est un processus qui ne se fait pas du jour au lendemain et certainement pas sans dommages collatéraux.
Je n’ai pas décidé du jour au lendemain de quitter le monde du travail, cette étape c’est fait bien malgré moi au début, tout ça grâce à mon amie dépression et son copain anxiété. Les deux se sont ligués contre moi en m’enfonçant plus profondément chaque jour. Heureusement, j’ai pris connaissance de la présence de ces deux vipères dans ma vie assez rapidement.
Ça faisait déjà un bout que je me doutais que ce n'était pas la grande forme. Tsé quand sur ton heure de dîner tu t’enfermes dans ton char pour brailler toutes les larmes de ton corps, sans trop comprendre exactement pourquoi tu pleures, ça sonne une cloche que quelque chose ne va pas. Mais, je suis une femme forte, ça va passer (yeah right!)
J’ai donc mis mon orgueil de côté et je suis aller à la rencontre d’une merveilleuse psychologue (que je salue d’ailleurs). Ce fut une des meilleures décisions que j’ai prise dans ma vie. Celle de prendre une pause, penser à moi et réussir à trouver c’est qui au juste cette femme que je vois dans le miroir tous les matins.
J’ai vite compris que je n’entrais pas dans le moule : Métro, boulot, dodo. Je suis une femme qui a besoin d’être passionnée, qui a toujours 10 millions d’idées et de projets en même temps dans la tête et qui étouffe littéralement dans un bureau. Bref, j’ai un grand besoin de liberté.
Je n’ai pas démarrer mon entreprise avec une étude de marché pour savoir où était le cash et qu’elle genre d’entreprise me permettrait de devenir riche. J’ai plutôt décider de démarrer une entreprise qui me ressemble et qui me permet de vivre la vie que je voulais. Le genre de vie où le stress de la routine quotidienne est plus ou moins présent, celle où je décide à quoi vont ressembler mes journées, celles où mon travail n’est pas une corvée mais plutôt une partie de plaisir et surtout, celle où je suis présente pour mes enfants. Est-ce que ma vie est parfaite ? Probablement pas, parce je suis le genre de personne qui pense qu’il y a toujours place à l’amélioration et à la nouveauté. De toute façon, est-ce que la perfection existe vraiment ? Peut-être, mais elle n’est certainement pas unique. C’est-à-dire que mon idéal de la vie parfaite n’est certainement pas le même que toi. Nos valeurs sont différentes, nos envies, nos goûts, nos objectifs ne sont pas les mêmes alors forcément que notre idée de la perfection est différente.
Mais, on a juste une vie à vivre, donc je crois qu’il est important d’en faire une vie à son image.
Finalement c’est mes passions, mes convictions et mes valeurs qui m’ont amenées à bâtir une entreprise qui est passionné par ce que la majorité des gens redoute : les soupers de semaine.
